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Le travail de Jacques Monneraud

Jacques Monneraud

Tous les jeudis j’accueille en live des artistes, céramistes, toujours en lien avec la poterie. Le but est de vous faire découvrir leur parcours, leurs créations, leurs ambitions. Ces lives sont une source d’inspiration pour tous les amateurs d’argile que l’on soit apprentis céramistes ou céramistes confirmés. Ici, Jacques Monneraud va nous partager son travail et son parcours de reconversion dans la céramique.

Jacques Monneraud

Jacques Monneraud s’est reconverti est un bel exemple de reconversion dans la céramique. Ancien directeur artistique et de création dans la publicité à Paris et co-fondateur de l’agence The Good Company, il s’est reconverti en 2021. Tu peux le retrouver sur ses réseaux jacquesmonneraud et sur son site jacquesmonneraud.com .

Interview de Jacques Monneraud

Peux-tu nous parler de toi ?

Je ne me sens pas vraiment légitime d’être ici, entouré de céramistes confirmés. Moi, c’est Jacques Monneraud, j’ai 35 ans et j’essaie de devenir céramiste, ce qui n’est pas une mince affaire. Pour l’instant, je me lance dans un projet de reconversion. Avant la céramique, j’étais dans la publicité, un domaine dans lequel je crois être arrivé un peu par hasard.

Et ton parcours ?

Jusqu’au bac, je m’ennuyais beaucoup, dessinant surtout sur les tables. Mon intérêt pour l’art a commencé à se développer à partir de cette période. Aussi, je suis parti étudier l’art à Oxford. Cette expérience m’a ouvert l’esprit, grâce à la mentalité sans jugement des Anglais. Dans cette école, j’ai expérimenté de nombreuses techniques : sérigraphie, gravure, photo.

C’était une école d’art généraliste. L’idée était de nous exposer à un large éventail de disciplines afin que nous puissions ensuite nous orienter plus précisément. J’ai beaucoup apprécié cette expérience. Ensuite, je suis revenu en France, ressentant le besoin d’un encadrement que je ne trouvais pas en Angleterre.

Qu’as-tu fait une fois en France ?

Je suis allé à Toulouse, où j’ai étudié les arts graphiques pendant trois ans. Puis, un peu par hasard, je suis entré dans le monde de la publicité, grâce à un ami. Ce qui m’attirait, c’était l’alchimie entre les mots et les images. Nous collaborions beaucoup avec des photographes, des illustrateurs et des réalisateurs, ce qui était passionnant. J’étais immergé dans l’image, la construction du discours et la communication. C’était très intéressant de ce point de vue, mais je n’étais pas entièrement satisfait du produit fini.

Par exemple, en publicité, nous travaillions durement pendant un an sur un projet qui durait seulement 30 secondes. Après cette année de travail acharné, la publicité était diffusée à la télévision ou sur Internet, souvent regardée sans grand intérêt ni critique, et oubliée en 30 secondes. Cela me frustrait énormément. On ne pouvait pas consacrer suffisamment de temps aux détails comme je l’aurais souhaité, d’où ma frustration grandissante. J’ai alors cherché une sortie.

La quête de sens de Jacques Monneraud

Après une dizaine d’années dans la publicité, je me suis demandé comment je pouvais faire quelque chose de plus satisfaisant. Je devais retrouver du sens. J’ai fini par co-fonder une agence de publicité axée sur le soutien des marques engagées socialement et environnementalement. Mais la frustration liée au produit fini demeurait. Prendre des responsabilités dans son travail signifie souvent s’éloigner de ce qu’on faisait initialement. J’étais très créatif, dessinant depuis mon plus jeune âge, mais je finissais mes journées en réunion, derrière un écran, sans toucher ni stylo ni pinceau. Finalement, j’ai exploré divers domaines, comme l’horlogerie, pour trouver ma voie.

Monneraud

Comment as-tu fait pour tester tout ça ? Tu t’es imposé un labs de temps ? 

J’ai abordé les choses au cas par cas. Par exemple, dans l’horlogerie, j’ai un ami qui travaille chez Rolex et qui m’a permis de faire un stage d’initiation chez Oméga. Ce fut une expérience très enrichissante. Cependant, cela ne m’a pas totalement satisfait car, bien qu’il y ait de la minutie, la créativité manquait. À moins d’être un astrophysicien de génie, on ne crée pas vraiment dans l’horlogerie. Néanmoins, je lui suis reconnaissant de m’avoir fait découvrir ce monde.

Puis, je me suis intéressé au dessin d’animation. C’était encore une autre passion, car j’ai de nombreux centres d’intérêt, mais il est difficile de ne pas s’éparpiller. Ce qui me plaisait dans le dessin d’animation, c’était le style de Disney avec lequel on a grandi. Cependant, aujourd’hui, il y a un côté un peu geek, c’est-à-dire qu’il faut connaître les dernières machines qui permettent de faire des calculs complexes, et il y a beaucoup de logiciels impliqués.

Quand tu as commencé, au début de ton fil Instagram, tu communiquais via ces animations justement ?

Oui, tout à fait ! En fait, j’ai opté pour le dessin parce que je n’avais pas d’équipement photo adéquat. Je ne voulais pas prendre de photos avec mon iPhone, non pas par snobisme, mais parce que je pensais avoir besoin de quelque chose de plus qualitatif. Mon souhait était d’investir dans un appareil photo de qualité, mais je ne le possédais pas à l’époque. Ainsi, j’ai essayé le dessin. C’est pourquoi, pendant un certain temps, le dessin a compensé le manque de matériel et, malgré tout, cela me plaisait. Donc, j’essaie de temps en temps d’y revenir. En réalité, je n’arrive jamais à m’éloigner totalement du dessin !

Même si tu as peut-être mis de côté le dessin, c’est une exploration qui te sert dans ta communication ?

Absolument ! Déjà, je pense que dans un fil d’actualité, un dessin attire l’attention, surtout lorsqu’on a l’habitude de voir des photos de pièces de céramique. Un dessin peut créer une sorte de pause pour les personnes qui défilent indéfiniment sur leur écran. Je trouvais que c’était une idée intéressante à explorer, d’autant plus que le dessin fait partie intégrante de mon quotidien dans ma réflexion. J’essaie de transposer mes idées sur papier avant même de tester leur faisabilité avec l’argile. Il y a toujours du dessin dans mon environnement, donc je n’ai jamais abandonné cette pratique !

Céramiques de Jacques Monneraud

Donc tu as exploré ce monde de l’animation et tu l’as mis aussi de côté ? 

Je l’ai mis de côté à cause de l’aspect geek qui, comme je te le disais, ne me correspondait pas. J’avais peur d’être constamment dépendant du matériel et de ne pas m’en sortir, de me retrouver à la traîne en termes de technologie.

Comment es-tu venu à la céramique ?

Un jour, sur mon téléphone, je scrolle machinalement et je tombe sur une vidéo de céramique ! Là, je pense qu’on peut parler de coup de foudre, car cela a été une révélation pour moi ! Je me suis dit : « Alléluia, je dois absolument faire ça ! » Mais je ne savais rien sur le sujet. C’était fin 2020, donc il n’y a pas si longtemps. J’ai fait des recherches sur internet et j’ai commencé aux ateliers Chemin de la Céramique. Je me suis inscrit à un stage et j’ai pensé qu’il fallait vraiment explorer ce domaine, alors j’ai suivi un stage intensif de quatre jours. À cette époque, c’était Karine Bacala qui donnait les cours. Je la remercie, car elle m’a initié et cela m’a tout de suite plu. J’ai apprécié son approche, en contraste avec le monde impitoyable de la publicité d’où je venais. Il y avait une telle bienveillance ! C’était la Slow Life.

Par la suite, je me suis posé beaucoup de questions, étant quelqu’un qui doute souvent. J’ai pesé le pour et le contre et, finalement, j’ai décidé de m’organiser pour me former à la céramique. Enfin, je me suis inscrit en mars 2021 à une formation en céramique de 10 mois et j’ai commencé le cursus en septembre 2021 pour pouvoir passer un CAP Tournage en céramique.

Tu as suivi une formation de 10 mois en céramique donc au final ça va faire 1 an et demi que tu tournes. Comment faire pour atteindre ce niveau en 1 an et demi ? 

D’abord, merci beaucoup, cela me touche énormément. Honnêtement, je pense avoir beaucoup travaillé. Je n’avais pas d’atelier ni de tour chez moi, mais j’avais choisi la formation aux Ateliers Chemin de la Céramique, notamment parce qu’ils comptaient le nombre d’heures passées au tour, et je crois que c’était 1253 heures, si ma mémoire est bonne. C’était la formation qui en proposait le plus. Je me suis dit que c’était un métier pratique et qu’il fallait absolument que je pratique encore et encore. Tous les conseils qu’on allait m’apporter étaient géniaux, mais ce qui allait vraiment faire la différence, c’était le temps que j’aurais passé derrière le tour.

Après, j’ai un peu le sentiment d’avoir fait des doubles journées. On avait un rythme de 9h à 17h, je crois, et moi, à 17h, je restais pour commencer ma deuxième journée. Au final, je finissais vers 22h le soir. Donc tu vois, 1253 heures ou plus peut-être, je ne sais pas, 3 à 4 heures supplémentaires chaque soir, ça fait quand même pas mal de centaines d’heures derrière le tour. Mais aujourd’hui ces doubles journées ne sont plus autorisées dans cette formation.

Et aujourd’hui, comment ça se passe ?

Monneraud Jacques

J’ai déménagé. J’étais à Paris, maintenant j’habite à Bayonne. J’ai eu la chance d’avoir une transition très fluide. J’ai trouvé un atelier plus grand, un petit coin que je peux louer. Le cadre de vie à Bayonne est incroyable. On est tout proche de la Nive, donc pour ceux qui ne connaissent pas, c’est le petit cours d’eau qui traverse Bayonne. C’est charmant, c’est vraiment super.

Aujourd’hui ce qui te démarque c’est le travail d’une forme. Vers quoi est-ce que tu aimerais aller en céramique ? 

C’est une très bonne question. Au début, j’ai commencé cela pour m’entraîner. Nous avions des dessins techniques qui doivent parler à pas mal de monde. En cours, on en rigolait pas mal, mais après, je me demandais pourquoi on ne nous donnait pas des dessins techniques d’objets qu’on a sur nos étagères ou nos bureaux. Finalement, je me suis naturellement dirigé vers les objets du quotidien. Ça me plaisait beaucoup de contraster, par exemple, le côté jetable d’une canette de Coca, ce que nous fuyons avec la création à la main, avec le fait de le faire en argile. Techniquement, c’était un vrai défi, car les matières permettent beaucoup plus de choses que la terre, en tout cas sur le tour. Donc, je me retrouvais avec des cotes à respecter. C’est vrai qu’il y a eu des moments où les choses que je montre sur mon compte sont celles qui ont fonctionné. Je n’ai pas encore fait de vidéos avec les échecs, mais il y en a eu un paquet.

Je suis attiré par beaucoup de choses différentes. Certains voudront vendre directement, et d’autres essaieront étayer leur pratique pour vendre par la suite. Que ce soit l’une ou l’autre des démarches, ça se comprend, et c’est tout à fait louable. C’est surtout, je pense, une nécessité de rapidement en vivre. Moi, j’ai la chance de pouvoir m’accorder ces quelques mois de recherche.

Jacques Monneraud

Pas à pas !

Il faut que je passe du temps pour affiner tout ça. Le style vient petit à petit. Il faut explorer des choses. Hier, j’ai travaillé sur des bols, j’ai testé plein de choses. Dans ma tête, ça fonctionnait, mais une fois sur le bureau, je trouvais ça nul. Et puis quelqu’un passe et dit : « Ah, c’est super, celui-là ». Mais c’est ça qui est intéressant. Et même la différence entre une pièce avant l’émaillage et après, quand elle ressort. Je ne voyais pas forcément le potentiel, et puis finalement, maintenant, elle me semble super cool.

Donc, tout ça petit à petit, c’est difficile à dire. Mais si je devais résumer, essayer de t’expliquer un peu l’idée que j’ai, moi je voudrais faire de l’utilitaire. Et puis je pense que c’est parce que l’artistique me fait peur. J’adore toutes les créations artistiques en céramique, mais ça me fait peur de baser mon salaire sur quelque chose qui peut passer de mode et qui sera forcément clivant. Même si c’est un peu le cas aussi pour l’utilitaire, je me dis qu’on aura toujours besoin de manger dans quelque chose et de se servir de l’eau avec quelque chose. Donc ça me rassure un petit peu.

Le travail de formes de Jacques Monneraud

. J’aimerais travailler la forme pour proposer une forme utilitaire, mais recherchée. Ça me vient de la réflexion de mon grand-père, qui dessinait des moteurs d’hélicoptère à une époque où il n’y avait pas d’ordinateur. Cette intelligence dans l’objet était omniprésente quand j’ai grandi. Il critiquait, par exemple, les couverts qu’on avait à table. Si ma grand-mère avait acheté un type de fourchette qui n’était pas parfaitement équilibré, on en parlait tout le repas. Et c’est vrai que ça, ça m’est resté. Donc cette approche-là, elle me plaît, je la trouve hyper intéressante.

Donc, je pense que c’est vers ça que j’ai envie de tendre. Si ça se trouve, demain je vendrai des vases. Il y a tellement de possibilités que quelquefois, en fait, c’est difficile de se recadrer pour savoir quelle voie on va choisir. C’est très difficile, et c’est un combat de tous les jours, surtout quand il y a des choses si variées qui te plaisent.

Moi, je suis fasciné par les choses que je suis incapable de faire. C’est vrai que j’ai toujours tendance à vouloir que la forme soit nickel. Alors que finalement, ce qui peut faire le charme d’une pièce, c’est justement cette déformation. Donc, je me bats contre ça. Ça me fascine, les gens qui arrivent à le maîtriser. Et les possibilités sont infinies, c’est aussi ce qui m’a attiré dans la céramique. Il y a des artistes qui ont la même matière première, qui utilisent donc l’argile, et qui ont des mondes aux antipodes les uns des autres. On peut presque considérer qu’ils ne font pas le même métier.

Monneraud Jacques

Aujourd’hui peux-tu nous partager trois outils qui sont indispensables pour toi à l’atelier ? 

Je pense que celui dont je me sers le plus c’est un petit couteau japonais. Il est tout petit, il est super léger. Je pense que c’est du laiton autour, et en fait, c’est juste un pliage. Donc l’étui est fait de la même façon. Donc ça, je remercie ma belle-mère, qui me l’a offert. Franchement, il ne me quitte plus, ce couteau.

Et puis après, il y a une estèque qui est toute bête, en aluminium. Honnêtement, je m’en sers tout le temps. Voilà, donc c’est mon deuxième outil. Et puis après, j’ai réfléchi, mais je me disais : le tour. Le tour, forcément, quoi d’autre. C’est notre petit bijou. Oui, le tour, c’est incroyable, franchement. Bon c’est embêtant à nettoyer, mais fabuleux.

Il a deux équipes soit ceux qui nettoient tous les soirs leur tour ou ceux nettoient en fin de semaine. Tu es de quelle équipe toi ?

Moi, clairement, j’étais de l’équipe une à la base, déjà parce qu’à Montreuil, il y avait des cours le soir sur les tours que nous occupions la journée. Donc, pour aller faire ma deuxième journée, j’étais obligé de changer de pièce parce que quelqu’un allait s’asseoir à mon tour et il fallait qu’il soit impeccable. On était tenu de nettoyer notre tour impeccablement tous les soirs, et c’est vrai que cela demande une énergie considérable. C’est une bonne éducation parce qu’il y a une rigueur qui est importante pour la tenue d’un atelier, je trouve. Maintenant, au quotidien, j’ai un peu la flemme, quand même. Généralement, c’est un coup d’éponge et puis c’est tout.

J’ai une technique, notamment et je sais que dans certains ateliers ils ne connaissent pas. Tu coinces une éponge entre le tour et le cardan. En fait, le cardan n’est presque pas sale ainsi. Voilà, c’est un petit tuyau, un petit truc qu’on nous avait donné à l’école, et naturellement, je l’ai reproduit ailleurs !

Jacques Monneraud

Pourquoi ce bonnet bleu ?  

Alors, en fait, je cherchais une couleur. Je me disais que cela faisait partie des choses auxquelles j’avais pensé. Je voulais être associé à une couleur, surtout pour émerger dans la quantité d’informations qu’on reçoit. Pour moi, c’était une façon de mettre un filigrane sans réellement en mettre un sur l’image. Donc, je cherchais une couleur, et comme je me lasse très vite de pas mal de choses, notamment les couleurs, je devais bien réfléchir. Finalement, je me suis dit qu’il n’y a que le bleu dont je ne me sois jamais vraiment lassé. À l’époque, j’avais un bonnet bleu, qui n’est pas exactement le même que maintenant, mais finalement, c’est tout aussi simple que ça, tu vois.

Et je sais que les gens demandent pourquoi le bonnet. Eh bien, parce que j’avais froid, tout simplement. Quand on n’a pas de cheveux, on a froid. Dans les ateliers, ce ne sont pas forcément les endroits les mieux chauffés !

Est-ce que tu peux nous partager des céramistes qui t’inspirent ? 

J’ai un peu réfléchi et noté des noms qui me sont venus spontanément. Certains sont japonais, et je ne voulais pas les écorcher. J’en ai noté un par catégorie. Par exemple, au niveau des idées, j’aime beaucoup le travail de Kazunori Onaka. Son travail, de l’utilitaire avec un petit côté décalé, est vraiment super. Ensuite, pour l’émail, il y a Ryuji Iwazaki, un maître des couleurs qui réalise des choses incroyables avec l’émail. J’aime le travail de Solen Belloir, ainsi que ceux de Kim Lê et Gadsby. Ils ont cette élégance naturelle dans leurs créations.

En tournage, je citerais Moon Do Bang, un virtuose japonais. Jean Girel et Daniel de Montmolin sont aussi des inspirations ! Mais les inspirations sont tellement nombreuses, ce n’était pas facile de citer que ces personnes. L’inspiration vient souvent hors de la céramique. Par exemple, je prends en photo des formes qui m’interpelle dans la rue pour m’inspirer. Avoir cette curiosité pour les choses est clé pour réussir. Cela, combiné à une sorte d’innocence ou de grain de folie, est important. C’est pourquoi j’utilise toujours le hashtag #StayFoolish, car garder son œil d’enfant est une énorme qualité.

Pour écouter l’interview de Jacques Monneraud , c’est ici !

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Sarah
Passionnée du tournage de poterie, je me suis donné un objectif : vivre de ma passion! Ce blog a pour but de partager avec vous mes recherches, mes réalisations, mes échecs et mes réussites. Bienvenue!
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