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Être céramiste à Berlin

Céramiste à Berlin

Tous les jeudis j’accueille en live des artistes, céramistes, toujours en lien avec la poterie. Le but est de vous faire découvrir leur parcours, leurs créations, leurs ambitions. Ces lives sont une source d’inspiration pour tous les amateurs d’argile que l’on soit apprentis céramistes ou céramistes confirmés. Ici, Violaine Toth va nous partager son travail, son parcours et sa vie de céramiste à Berlin.

Violaine est une artiste céramiste française basée à Berlin depuis six ans. Dans son atelier, elle crée des collections de céramiques en collaboration avec des concept stores locaux et des galeries. Elle vend directement depuis la boutique de l’atelier. Elle enseigne également la céramique a ses élèves berlinois. Tu peux le retrouver sur ses réseaux violainetoth.ceramic et sur son site tothviolaine.com .

Tu es céramiste à Berlin, penses-tu avoir également une notoriété en France ?

Je suis ravie d’avoir été invitée et heureuse d’avoir une petite place sur la scène française. En réalité, je me sens peu connectée à la scène céramique française. Mes interactions avec le milieu de la céramique en France sont rares. Parfois, des personnes me reconnaissent et me saluent, ce qui crée des situations un peu étranges. Ma notoriété, pour ainsi dire, se limite à internet, et je ne me considère pas comme une célébrité. Une fois, avec mon père, nous nous sommes retrouvés dans un endroit isolé en Seine-et-Marne, où nous avons croisé quelques céramistes qui m’ont reconnue. Bien que certaines personnes reconnaissent mon travail en France, je ne participe pas souvent à des événements ou des ventes. Principalement en raison de la complexité logistique pour l’envoi.

T’es-tu formée de façon autodidacte à la céramique ?

Je n’ai pas suivi de cursus en céramique du tout. J’ai obtenu un diplôme en design produit, une licence jusqu’au master, dans une école publique à Orléans. Nous avions accès à de nombreux ateliers, y compris le métal, le bois et même la céramique, bien qu’il n’y ait pas de tours. J’ai eu la liberté d’expérimenter comme je le souhaitais, mais au départ, je n’aimais pas la céramique. Dans notre école de design, nous avions des cours de poterie, mais nous faisions du coulage de porcelaine dans des moules, ce que je détestais. Les cours de modelage étaient également très encadrés. Dès qu’il y avait des chiffres et une atmosphère scolaire, cela me rebutait. Lorsque je n’arrivais pas à obtenir un résultat satisfaisant dès le début et que je recevais des critiques, je laissais tomber. En conséquence, mes débuts dans la céramique n’ont pas été très réussis et m’ont démotivée.

Les stages

Pourtant, pendant mes études, j’ai effectué de nombreux stages pendant les vacances, bien que ce ne fût pas obligatoire. J’ai fait des stages de vannerie, de soufflage de verre, mais aucun en céramique. Dans ma tête, la céramique se résumait à de la porcelaine coulée dans des moules. Ce qui ne m’intéressait pas du tout. Un jour, j’ai effectué un stage aux Pays-Bas, à Eindhoven, dans un domaine complètement différent de la céramique. C’était chez une designer qui travaillait le textile pour le mobilier. À côté de mon studio, il y avait une femme qui travaillait la porcelaine colorée à la main, son nom : Elke Van den Berg. Malgré la barrière de la langue, je passais mes pauses déjeuner et mes soirées dans son atelier à observer et à apprendre. L’expérience de voir une femme entrepreneuse gérer son propre atelier, ses commandes et son emploi du temps a été révélatrice pour moi.

Cela a changé ma vision de ma carrière, car cela m’a donné envie de me lancer dans cette voie. Son travail, bien qu’esthétiquement différent du mien, m’a touchée par son style pastel et ses dessins naïfs, des aspects que je n’avais jamais vus en céramique auparavant. Il y avait aussi deux céramistes à Saint-Amand-en-Puisaye, Jean-Marc Fondimare et Eric Hibelot , où j’ai acheté ma toute première tasse. Leur style était également basé sur des dessins assez naïfs, presque enfantin. Aujourd’hui, on le qualifierait peut-être de « pinterest » car très en vogue sur internet, mais il y a dix ans, cela représentait pour moi une forme de liberté artistique. Cela m’a donné envie de m’investir dans ce domaine.

Je suis donc rentrée en France, j’ai investi dans du matériel et j’ai passé beaucoup de temps dans l’atelier de céramique de mon école jusqu’à la fin de mon master. Ce qui me plaisait le plus, c’était d’aider les nouveaux étudiants à s’orienter dans l’atelier. Virginie, qui gérait l’atelier, m’avait un peu prise sous son aile et j’ai eu la chance de transmettre mes connaissances aux débutants, ce qui était une expérience enrichissante pour moi.

céramiste à Berlin

Tu as dit qu’au début de ton parcours dans la céramique tu as eu des difficultés , comment as-tu réussi à les dépasser ?

Quand j’ai décidé d’être céramiste à Berlin, j’étais dans un atelier de poterie où je tournais pour presque rien en échange de mon travail. Je les aidais à recycler la terre, à nettoyer un peu et en échange, ils me laissaient utiliser les tours seule, soit le soir quand il n’y avait personne, soit le weekend. C’était à l’époque où il n’y avait pas encore eu le boom de la céramique à Berlin, donc c’était il y a 6 ans. Il y avait peut-être trois ou quatre personnes dans ce studio, donc j’étais seule des nuits entières. C’était incroyable, j’avais l’impression d’avoir mon propre studio. À l’époque, j’avais 23 ans quand je suis arrivée à Berlin. Quand les gens de cet âge-là arrivent à Berlin, ils vont faire la fête et rentrent chez eux à 5h du matin. Moi, je rentrais à 5h du matin, mais d’avoir bossé sur de la céramique toute la nuit. J’étais remplie de terre partout, même parfois je m’éclaboussais exprès de terre quand je sortais du studio pour que les gens me remarquent dans la rue.

L’apprentissage du tour

Pendant ces heures d’apprentissage du tour, plus ou moins toute seule, j’ai pleuré tellement de fois. Il y avait tellement de fois où ça m’a énervé. Mais, je savais que je ne voulais pas arrêter, j’avais envie de continuer. Mais comme j’étais seule dans le studio et qu’à l’époque je n’utilisais pas trop les réseaux sociaux, je ne me comparais jamais. Je pense que si j’avais su qu’il y avait autant de ressources en ligne, j’aurais potentiellement regardé. Ça m’a pris de la patience parce qu’au bout d’un moment, j’en ai eu marre de pleurer et de m’énerver. Moi, dans mon travail, j’essaie de travailler beaucoup la forme. En effet, parce que mon parcours fait que pendant 5 ans, j’ai pensé vraiment à la fonction d’un objet, à comment on le déplace, on le touche, on l’utilise. Mais il y a des gens qui travaillent beaucoup plus sur la texture, la couleur. Moi, je n’arrive pas à combiner les deux. Et c’est pour ça que je travaille avec du noir ! Parce que pour moi, c’est la teinte qui donne le moins d’infos.

Comment te définis-tu aujourd’hui et comment sont définis les céramistes à Berlin : artistes, artisans , potiers ?

J’ai essayé de me définir en disant que je suis moi, que je n’ai pas envie d’être juste potière. J’avais une vision assez snob de la chose. Mais c’est surtout à cause de mes études et du bourrage de crâne que j’ai eu pendant 5 ans. On nous disait que les designers, c’étaient ceux qui étaient intelligents, et les autres, c’étaient un peu des faiseurs. Et en fait, ça a évolué de plus en plus. Maintenant, je me définis comme artiste, parce que, tout simplement, je ne fais pas que de la céramique. Je fais aussi du dessin, je travaille avec différents médiums.

Je n’ai pas envie d’être enfermée dans une catégorie qui, plus tard, si un jour je me lasse de la céramique, me limiterait. Quand ça vient à notre métier, ou en termes de créativité, je ne sais pas comment les gens me définissent. Ils me voient peut-être comme une potière, comme une artiste… Moi, je pense que je suis d’un côté prof. Je donne énormément de cours de tour et de travail de la terre noire. Je fais aussi des workshops à l’étranger, où j’enseigne comment faire des pièces, par exemple. Donc, je pense que les gens me voient aussi comme une prof. Mais bon, moi, je me vois plus comme une artiste.

céramiste à Berlin

Tu tournes de la terre très chamottée, noire, comment tu fais avec tes mains ?

En fait, quand j’ai commencé à tourner, je ne savais pas centrer . Je me suis dit que ce serait une super bonne idée de débuter avec de la terre noire chamottée. Du coup, pendant des mois, j’avais la peau des mains abimée. Je ne recommande pas, mais je crois que c’était un espèce de défi personnel. Et aussi, le fait d’utiliser de la chamotte me permettait d’avoir des pièces qui se cassaient moins la figure. D’un côté, j’avais moins mal aux mains. Ça m’a complètement lissé le côté des mains.

Quand il y a vraiment beaucoup de chamotte, je tourne avec des gants de vaisselle Ikea. Donc, ce n’est pas sexy, mais c’est marrant. Si on débute dans la céramique, c’est dur de faire ça parce qu’on n’a pas tellement de sensations dans les mains. Donc, je ne recommanderais pas. Mais ce qui m’a vraiment permis d’apprendre, enfin, de faire des pièces peut-être un peu plus intéressantes . Moi, je galère à faire des grosses pièces blanches, enfin, ça arrive rarement, mais quand ça arrive, je galère. Mais avec de la terre chamottée, ça se tient beaucoup mieux.

Quelles sont tes astuces pour se lancer dans le grès noir ?

Je n’y ai jamais pensé, parce qu’en fait, je ne donne jamais de conseils concernant cette terre aux débutants. Je leur dis toujours, « Ne prenez pas de la terre noire, c’est juste trop horrible comme terre, vous allez être frustrés. » Donc, je dirais, numéro 1, ne pas avoir peur d’échouer et d’être frustré, surtout si vous essayez de faire des assiettes. Bonne chance ! Je ne sais pas pourquoi on a inventé ça. On aurait toujours dû manger dans des bols et tout le monde aurait été bien plus heureux.

Les assiettes, c’est long et plat, donc il va y avoir des tensions qui vont se créer pendant la cuisson et ça va tout le temps casser au milieu. Moi, je perds pratiquement 50 % de ma production à chaque fois que je fais des assiettes. Je dirais, si vous utilisez de la terre noire, ne dites pas que ça casse parce que vous êtes nul ou parce que vous ne le faites pas bien. C’est normal, c’est une terre qui casse beaucoup. Et même moi, qui l’utilise depuis 5, 6 ans, j’ai encore des moments où ça casse.

Le séchage

Quand vous venez de faire votre pièce, ne la laissez pas sécher comme ça d’un coup, couvrez-la et laissez-la sécher couverte pendant une semaine. Et après, vous la découvrez, petit à petit ! Le séchage, c’est hyper important, surtout si vous faites des assiettes. S’il y a de la chamotte, lissez bien le fond de vos pièces, enfin, le bas de vos pièces, sinon vous allez abimer vos tables.

Toxicité de la terre noir

La terre noire, c’est très dangereux pour la santé si on la respire, parce qu’il y a du manganèse dedans. Quand elle est à l’état mouillé, ce n’est pas grave, il n’y a aucun risque. Mais par contre, il ne faut jamais tourner une pièce qui est trop sèche. Si elle est trop sèche, on la refait, parce que sinon, ça va faire de la poussière quand on va travailler. Ou alors, si vraiment vous voulez tourner un truc qui est trop sec, mettez un masque.

Moi, j’ai une politique dans mon studio : jamais d’aspirateur. Je ne ponce jamais mes pièces, que ce soit à l’état cru ou biscuité. Moi, quand il y a vraiment quelqu’un qui me dit, « je veux trop poncer », c’est avec un masque, dehors, assis hors du studio. Et ce qui est bien aussi, c’est de mettre un  seau d’eau en dessous, comme ça, ça attrape les particules de poussière. Mais vraiment, faites attention quand vous manipulez la terre aussi. Ne mettez pas vos mains sur le visage, dans la bouche… Moi, j’évite de boire ou de manger, dans l’espace du studio quand je travaille. Ne laissez aucun textile sale aussi. Tout doit être lavé.

Quel est ton processus de création ?

Mon parcours en design produit a façonné ma manière de travailler. Je commence toujours par réfléchir à l’usage et à la problématique, puis je propose des dessins et j’imagine différents objets. J’aime présenter des familles d’objets pour économiser du temps et avoir une vision claire avant de commencer. Adolescente, je dessinais beaucoup en pensant à mes futurs tatouages, ce qui m’a influencé dans ma pratique actuelle. Dans mon processus de création, je passe par différentes étapes et ajuste souvent mes plans en cours de route pour explorer de nouvelles possibilités.

Pour toi, c’est quoi être céramiste aujourd’hui ?

Je dirais que ça a changé, vraiment. Quand je suis arrivée, c’était un peu comme la cour de récré, tu vois, un peu libre. Il y avait peut-être quatre ou cinq petits studios, et ça m’a permis de me démarquer rapidement et de trouver des clients. La crise du COVID-19 en 2020 a conduit beaucoup de céramistes à Berlin à vendre des céramiques ou des kits de céramique. Je n’ai jamais voulu suivre cette voie, ça ne me correspondait pas. Certains ont vu dans la vente de kits une opportunité intéressante. Moi, je voulais maintenir un savoir-faire authentique tout en le rendant accessible. La céramique est devenue plus démocratisée ! Malgré l’apparition de nombreux nouveaux studios depuis 2021, cela n’a pas vraiment changé ma vie.

Je suis reconnaissante pour le soutien de ceux qui ont fréquenté mon studio, certains sont même devenus céramistes à leur tour. C’est gratifiant de voir que les conseils que j’ai donnés ont contribué à épanouir d’autres personnes. En fin de compte, on ne peut vraiment exceller que dans quelque chose qui nous est personnel. Berlin est un endroit où l’échange artistique est encouragé, bien que la bureaucratie et la barrière de la langue puissent être des défis pour les expatriés. Cependant, cette ville permet une certaine liberté artistique et offre de nombreuses opportunités de collaboration et d’expérimentation.

Il y a t-il des aides et des statuts diffèrent qu’en France pour être auto-entrepreneur à Berlin ?

C’est un peu le même statut que vous avez, c’est la même chose qu’en France. Je pense que théoriquement parlant, je pourrais avoir des aides si je faisais vraiment les démarches. Sauf que d’une part, je ne parle pas du tout assez bien pour savoir où me renseigner, et d’autre part, c’est tellement bureaucratique que si c’est pour avoir 100 euros, mon temps est plus précieux que ça. Donc, le fait que je n’habite plus en France fait que je n’ai aucune aide de la France. En mars 2020, tous les entrepreneurs de Berlin ont tous touché 5000 euros, à ne pas rembourser, juste 5000 euros comme ça. Ça m’a permis de ne pas fermer boutique et de pouvoir continuer à payer le loyer, donc c’était incroyable. Mais sinon, à part ça, je n’ai pas reçu d’aide pour créer mon studio.

Violaine Toht

Aujourd’hui, tu vis de la céramique ?

Oui, je mange, je bois, je vis céramique, je dors céramique, je fais tout céramique. Il y a un programme que j’ai fait quand je suis arrivé à Berlin qui m’a vraiment sauvé la vie ! J’aimerais le partager avec tout le monde ici parce que ce n’est pas assez connu en fait. C’est un truc qui s’appelle Erasmus, mais ce n’est pas le Erasmus qu’on fait à l’école, c’est Erasmus Young Entrepreneur. Ça, c’est pour tout le monde, n’importe quel âge, n’importe quelle profession, ce sont tous les gens en fait qui veulent se lancer dans une activité et qui veulent faire un stage à l’étranger.

C’est payé par la Commission européenne, donc il faut faire un dossier et sur la plateforme, on trouve une personne qui nous prend en stage à l’étranger. Par exemple, moi quand je suis venu à Berlin, j’ai fait un stage avec une céramiste. Et donc elle s’est portée garante comme hôte et moi comme stagiaire. On a fait tout un dossier, ça a mis plusieurs mois d’échange avec la plateforme. Mais ça m’a permis pendant 6 mois de toucher 800 € par mois. Je sais que maintenant ils ont coupé à 3 mois, ils ont restreint les budgets.

Pour les déchets et le recyclage de la terre, vous avez à Berlin les mêmes contraintes qu’en France ?

Je ne sais pas comment c’est en France. Nous, on va dire que les Allemands ne sont pas un modèle de flexibilité absolue. Ils sont très stricts aussi sur beaucoup de choses, notamment tout ce qui concerne l’environnement, c’est aussi un aspect que j’apprécie ici. Donc, moi, ce que je fais à l’atelier, c’est que j’ai très peu de déchets parce que je recycle toutes mes terres, et après, mon eau qui est un peu boueuse, je la laisse décanter. Donc, toute l’eau liquide, je la mets dans mon évier. J’ai fabriqué un système de filtration maison, si jamais ça vous intéresse, j’ai fait un réel l’année dernière, je crois, ou il y a 2 ans.

Et pour les émaux, pareil, j’ai un bac où je laisse décanter tout, dès que l’eau est claire, je mets juste l’eau dans l’évier. Toute la partie émail mélangée, je la mets dans des seaux que j’ai au sous-sol. Là, ça fait 3 ans que je suis dans ce studio-là et j’ai trois seaux remplis, donc c’est vraiment pas énorme. Et un jour, soit je vais à la décharge et c’est eux qui prennent en charge ça ou alors je décide de faire une sorte de glaçure surprise.

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Sarah
Passionnée du tournage de poterie, je me suis donné un objectif : vivre de ma passion! Ce blog a pour but de partager avec vous mes recherches, mes réalisations, mes échecs et mes réussites. Bienvenue!
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